Sortie cinéma 6°5: La panthère des neiges de Vincent Munier et Sylvain Tesson

Dans le cadre des journées consacrées au projet « Nature et Environnement », les élèves de la classe de 6°5 sont allés voir, dans la matinée du 14 décembre, le film « La panthère des neiges » de Vincent Munier et Sylvain Tesson, en avant-première au cinéma. Une aubaine pour la classe qui avait déjà eu l’occasion de voir l’exposition photo de Vincent Munier, photographe animalier, lors d’une sortie à « Visa pour l’image » en septembre, ainsi qu’un documentaire, « l’éternel émerveillé » en classe, dans lequel le photographe explique ses différentes techniques. Cette fois, dans ce film, Vincent Munier part avec son ami écrivain Sylvain Tesson plusieurs mois au Tibet afin d’essayer d’obtenir des images de la célèbre panthère des neiges, connue pour sa grande discrétion et la difficulté à l’observer dans un paysage où elle est totalement camouflée. Le film est donc l’histoire d’une quête de deux hommes dans un paysage immense et spectaculaire dans lequel s’opposent constamment l’impression de vide et de fourmillement de vie, contraste que les élèves ont très bien saisis.
«  On peut voir deux formes d’amitié, celle entre les deux hommes, et celle des hommes avec la nature, pourtant c’est très solitaire comme film », a ainsi dit Lou. Rose quant à elle était aussi émue que Sylvain Tesson dans le

film: « il y a beaucoup d’animaux qu’on ne voit pas, mais eux, ils nous voient! » Pour Lyli-Rose, le film était « impressionnant avec beaucoup de prises de risque pour observer les animaux ». Martin s’est émerveillé de la « richesse et de la rareté » des images. Mohammed lui a ressenti de « l’étonnement » et a été très touché par le film. Lola, Agnès et Alma se sont entendus sur le fait que le film était « grandiose, impressionnant, les hommes sont heureux et ont beaucoup de patience… » . Enfin Zoé à également remarqué « l’humour et certaines images drôles » quant à la complicité et la différence entre les deux hommes dans leur quête de la panthère des neiges.

Sur le chemin du retour, les élèves n’ont pas manqué de faire un petit clin d’œil à leur professeur d’anglais, avec une photo à côté d’une ancienne cabine téléphonique anglaise dans le parc.